Gérard Santucci

SUITE DE NOS PROPOSITIONS SUR LE VIN

Dans le cadre du Label « Valréas Terre d’Art et d’Histoire »  que nous allons demander , le Vin fait partie intégrante de notre Patrimoine et nous voulons que l’Histoire de Valréas soit  présentée aussi sous le prisme  du  Vin , des papes au cardinal Maury, le vin de Valréas a beaucoup de choses à dire,  donc des expositions thématiques seront mises en œuvre. Et aussi nous voulons,  si nous arrivons à déplacer   le  Musée de cartonnage et de l’imprimerie, lui adjoindre une partie œnotouristique : une Eticothèque © nationale.    

Pour la Communauté de Communes : Pays Grignan Enclave
Pour ce qui est du développement de la filière, nous avons prévu au plan de l’Intercommunalité une structure plus professionnelle et accroître le rôle du développeur économique. C’est en effet une compétence Communautaire que l’économie. L’économie viticole devra y trouver toute sa place. Ce qui ne vous empêchera pas de trouver à la Mairie de Valréas accueil et mise à disposition de moyens. 
Tourisme Communautaire 
Tourisme Communautaire cela semble possible – rappelons que la Communauté de l’Enclave des papes l’avait mais n’a rien fait -ou si peu - dans ce sens ! 
Si le Tourisme communautaire Grignan/Valréas est retenu (ce qui semble à l’heure actuelle la solution la plus plausible à minima) il faudra trouver une communication cohérente de Territoire – Faire de celui-ci une destination de séjour W.E et vacances.  Ce Pays est au cœur la Drôme provençale et le vin l’irrigue.
- Oenotourisme avec notre proposition d’obtenir le Label « Vignobles et découvertes » qui permettra de structure l’offre œnotouristique – les actions autour du goût (semaine du gout intercommunale  - weekend truffes – randonnées truffe et vin….) 
– Action culturelle : Œnovidéo (cinéma), Correspondance sur le Vin, Théâtre sur le Vin (La seule Pastorale sur le Vin, écrite par un valréassien doit être présentée : CHICHOLA de Roger Pasturel)
– L’accueil est primordial il doit être mutualisé sur le Territoire de la Communauté de Communes : Gîtes – Chambres et tables d’hôtes avec oenotourisme mais surtout il manque un Hôtel pouvant accueillir un car entier pour organiser des W.E et des journées à thème. Cet Hôtel il est à construire (norme 2*) , où ? Pas forcément à Valréas mais pourquoi pas avec Vinothérapie ? Il faudra une vraie volonté politique pour y parvenir.
En Conclusion
 Si le Vin nous inspire tant c’est parce que nous pensons qu’il n’est pas « qu’une dilution alcoolique obtenue à partir de la fermentation du raisin » mais qu’il est, pour nous, une Culture à lui seul avec son histoire, sa géographie, sa gastronomie, son goût, sa littérature, son théâtre, sa musique…. et que nous voulons faire partager cette passion au plus grand nombre, d’abord aux valréassiens puis aux touristes que nous espérons nombreux sur ce thème . De plus  le vin est transversal politiquement ( il y a du vin rouge, du rosé et du blanc) bien que notre slogan sera celui du seul académicien valréassien à ce jour qui a dit « Pour voir la vie en rose il faut la mirer dans un verre de Valréas » et cela nous va bien. 
Mais je sais vous allez dire : tout ceci est bien joli mais vous êtes une liste de gauche et bien oui, nous sommes une liste de gauche mais je vous rappelle que le syndicalisme, la mutualité (MSA, Crédit agricole) , la coopération ( Caves coopératives, CUMA) , la solidarité ( taille, vendanges lors d'accidents de la vie) sont des vertus que nous partageons avec vous  
 

Plusieurs candidats et candidates  des villes  d'Orange, Avignon, Vaison et plus près de nous Grignan ont présenté une bonne partie de leur programme et de leur équipe.

Nous pouvons penser raisonnablement que les futurs prétendants ont des difficultés pour faire connaître aux Valréassiens leurs équipes et leurs programmes à trois mois des échéances.

L’important n’est pas de dévoiler tôt ses intentions et son équipe.

L’important me semble-t-il est de rassembler suffisamment tôt des femmes et des hommes pour qu’ils puissent travailler collégialement, fixer des orientations faire participer pleinement cette équipe à l’élaboration d’un programme avec la population par des réunions publiques sur des problèmes locaux et des thèmes précis dont la population attend.

Comment peut-on penser sérieusement à un bon candidat quand un travail en équipe n’a pas été réalisé, approfondi par de nombreuses rencontres de travail avec la population.

Dans le cas contraire il ne peut s’agir que des propositions d’orientation de politique issus de programme  préfabriqué et d’un travail de quelques-uns sans grand intérêt pour la ville ce qui donne à coup sûr un avantage aux municipalités sortantes.

Je crains malheureusement que ce soit le cas pour les opposants déclarés.

Les électeurs savent bien que l’on ne construit pas un programme seul sorti du sac à trois mois des élections avec une équipe fiable, représentative, et crédible.

Ce travail se prépare bien à l’avance malgré la bonne volonté de chaque candidat, il est fort probable qu’a Valréas nous nous trouvions dans cette situation.

À l’exception de l’extrême droite qui quand ils arrivent au pouvoir n’ont pas besoin de programme ou d’un bilan à leur actif ni d’une équipe compétente car ils se construisent sur le mécontentement général en s’appuyant sur les classes populaires.

En sachant que le climat est favorable à Valréas comme ailleurs cette situation ne nous satisfait pas…

Aussi, en l’absence de liste de gauche notre engagement nous permet de rouvrir, sur ce blog ouvert à tous, des informations sur nos propositions passées et futures que nous allons nous efforcer de développer lors d'autres publications à venir.

GS.

Quand on n’est pas en mesure de proposer aux Valréassiens un programme clair avec des femmes et des hommes crédibles pour les futures échéances municipales à gauche il est clair que les électrices et les électeurs qui ont le cœur à gauche ne s’y retrouvent pas. 

     Sur le plan politique avec une liste de droite, une de centre droit et une d’extrême droite ceci explique peut-être le trouble qui règne en ce moment à quelques mois des échéances municipales chez certains électeurs.

     Si en 2014 nous avons décidé de ne pas être présents au deuxième tour pour faire barrage au Front National, je ne suis pas sûr qu’en 2020 il y ait une même conscience politique de la part des candidats.

     Au regard des dernières informations locales. Le ralliement, sans conditions, de ce qui reste du groupe LREM valréassien en faveur de la municipalité actuelle ne présage rien de bon.

     Pour celles et ceux qui ont un minimum de connaissance politique locale ils savent très bien que cette initiative personnelle isolée relève d’un règlement de compte avec l’éventuelle liste conduite par Myriam Gros représentant LREM/Modem, plutôt que d'une stratégie contre l’extrême droite : cet état d'esprit est regrettable. Pas besoin non plus d’être un fin politique pour le comprendre.

     Quand on n’est pas d’accord avec son parti on le combat de l’intérieur ou on le quitte.

     Il appartiendra donc pour celui qui conduira une liste de faire une ouverture avec des femmes et des hommes qui sensibiliseront l’électorat de gauche, du moins je l’espère.

     Avec toute l’amitié que je porte à quelques élus de la majorité actuelle, je constate à regret que la municipalité est largement soutenue par L.R dont plus de 70 % de ses membres souhaitent un rapprochement idéologique avec l’extrême droite, pas de façon claire certes , mais bien réelle il suffit de parler avec quelques élus pour vite comprendre que le discours va bien dans ce sens.

     Il est clair cependant qu’il faut bien faire la différence et ne pas faire d’amalgame afin de ne pas favoriser celles et ceux qui, à coup sûr, entraîneraient notre ville et notre département vers la démagogie et l’incompétence.

GS

Si les Valréassiens souhaitent un renouvellement de leurs élus , ils souhaitent aussi, à coup sûr, une clarification au niveau de la CCEPPG qui fonctionne depuis déjà cinq ans dans un climat qui n’est pas favorable à une entente cordiale de travail et ne favorise pas les résultats que nous pourrions attendre d’une telle institution.

      Institution qui, je le rappelle, a en charge, l’action économique, le tourisme, la petite enfance, l’environnement l’aménagement du territoire, l’électrification.

       Espérons que pour les prochaines élections municipales, cette situation se clarifiera pour les vingt-trois communes qui la composent au bénéfice de nos concitoyens.

      Il est bien évident que rien ne changera, même au-delà d’un renouvellement des élus, si l’esprit hégémonique ne change pas de la part de la majorité détenue par les élus de notre ville.

      Nous sommes plusieurs à penser que la Présidence de la CCEPG devrait revenir à un maire de la Drôme pour une raison simple, la reconnaissance évidente des 19 villages de ce département qui compose cette institution.

      Malheureusement nous savons déjà que la présidence est déjà ambitionnée par notre conseiller Départemental, cette décision mérite d’être confirmée et reste une prérogative du maire de Valréas.

       Il est quelque fois intéressant de regarder autour de nous pour voir les différences de gestion des Communautés de Communes qui nous entourent pour se rendre compte rapidement qu’en particulier, sur l’environnement et la collecte et entretien des déchets ménagers et assimilés nous ne sommes pas à la hauteur de l’enjeu.

       Au regard des responsabilités que porte la CCEPG, Il est bien évident que cette institution doit changer en profondeur.

      Nous sommes tous capables de comprendre cela, sauf peut-être certains élus de Valréas qui sont portés par leurs ambitions personnelles au détriment de l’intérêt général.

GS.

Allez; un brin de politique locale.

Aujourd’hui  à la veille des élections municipales et cantonales dans un Valréas endormi il est d’usage de ne pas s’identifier politiquement.

Cependant de façon sournoise, au regard des dernières élections Européennes, nous sentons bien que le résultat probable de ces élections affichera à coup sûr une montée de l’extrême droite, aidée des populistes en tout genre.

Il serait peut-être temps d’y penser. Je sais que certains protagonistes y pensent et s’inquiètent de cette situation plus pour eux, peut-être, que pour les véritables raisons que pourrait provoquer cette situation.

Bloqués par leurs étiquettes ou par leur majorité déjà en place avec leur égocentrisme exacerbé ils refusent cette ouverture d’esprit à des femmes et des hommes de diverses obédiences, c’est regrettable cependant ils  porteront l’entière responsabilité d'un éventuel échec.

Il semblerait, à croire les sondages que les Français aspirent à un changement profond de leurs élus.

Je crains le pire pour Valréas, souhaite le meilleur pour le conseil départemental qui, j’espère, retrouvera une majorité stable, efficace pour notre Département et surtout pour notre ville qui a besoin plus que jamais du département pour son développement.

Pour ma part j’ai aucun doute sur la candidature d’une femme et d’un homme de sensibilité de gauche pour cette élection cantonale d’importance.

Par ailleurs, la gauche me semble bien absente de cet engagement pour les municipales 2020. Cette situation est bien regrettable pour la démocratie locale aussi pour les femmes et les hommes s’ils ne se reconnaissent pas dans les programmes proposés.

Espérons que ce manque ne favorisera pas l’abstention au bénéfice de l’extrême droite.

GS.

Valréassiens nous pouvons être fiers de notre collège Vallis Aeria!

En effet des élèves de quatrième se sont montré les dignes descendants de leurs prédécesseurs inventeurs qui apportèrent bien être et travail à nos concitoyens. Ils sont en effet dans la lignée des Ferdinand Revoul, Germain Aubert, André Chauvin qui par leurs inventions ont fait briller l'esprit créatif de nos concitoyens! Car les élèves (7) de quatrième du Collège Vallis Aeria de Valréas de l'année scolaire 2018/2019  et leurs professeurs Johan Rungettre et Grégory Stanguennec ont gagné le prix Génialissime  lors de  la finale nationale du concours CGenial se déroulant à Paris à la Cité des sciences et de l’industrie ce samedi 25 mai, en concurrence avec 55 équipes venues de toute la France. Ce prix leur a été remis pour leur invention le "Sécusac" un sac lumineux et connecté.

"Les prix reçus sont une visite VIP dans n’importe quel site de France EDF ainsi que des casques VR Oculus Go. Au cours de cette finale les élèves ont brillé devant 3 jurys différents. 2 passages le matin et un passage l’après midi. Les remises des prix étaient effectuées notamment en présence de Mathieu Vidard (’’la tête au carré’’ France Inter)"( Collège Vallis Aeria). 
 
Plus d'infos sur :  ICI

* petit rappel historique : c'est la municipalité Jean Duffard (Union de la gauche) qui a construit ce Collège, c'est sous la présidence de Claude Haut (P.S) que le Conseil général de Vaucluse a voté les travaux qui sont réalisés actuellement et qui seront certainement inaugurés en grande pompe avant les prochaines élections....

Photo (Collège Vallis Aeria) : remise du prix à Paris.

Municipale 2020.

À mesure que les échéances municipales approchent mon inquiétude grandit au regard de la montée de l’extrême droite.

L’écoute que semble apporter une partie de la population à ces discours qui prennent appui sur la souffrance des gens, et qui pour certains sont dans une précarité évidente, l’adhésion semble acquise et profite à l’extrême droite.

Notre Ville n'y échappe pas.

Les discours qui émanent de tous les coins de rue en sont la preuve.

Il suffit d’écouter pour se rendre compte de la banalisation de certains propos populistes et extrémistes.

Il serait peut-être temps de réagir sur Valréas et l’Enclave pour remédier à cette montée des extrêmes qui n’est pas une évidence, avec toutes celles et ceux qui refusent que Valréas, cette Ville connue comme une ville historiquement résistante, tombe dans les mains de l’extrême droite.

Un front républicain me semble être une des solutions à construire pour demain.

Cette responsabilité est dans les mains du Maire en place en proposant aux Valréassiens un programme pour les années à venir avec des femmes et des hommes représentatifs de la population Valréassienne.

En parallèle il faut redonner une majorité stable au Conseil Départemental où la composition actuelle, sans majorité,   donne aucun résultat concret au bénéfice de notre Ville.

Je ne cacherais pas une préférence pour une majorité de gauche qui depuis des années avait donné toute satisfaction à notre Enclave, malgré la diversité d’opinions des maires en place : sur le plan économique, culturel éducatif et sportif : je ne citerais que la cité du végétal, la salle polyvalente et le complexe sportif du Vignares, le musée du cartonnage sur le plan touristique, la création de notre collège, puis sa rénovation, l’installation de la fibre optique sur tout le territoire de l'Enclave, et le foyer occupationnel sur le plan social avec ses créations d’emploi.

Souvenons-nous quand même des réalisations et comparons avec le vide actuel.

Pouvons nous espérer, avec une nouvelle majorité départementale, la création dune nouvelle piscine municipale ou cantonale, une maison du département pour remédier à la désertification administrative, sur le plan culturel la reconnaissance d’un théâtre régional, nous pouvons aussi espérer suivant la volonté municipale des aides de la région, du département pour la mise en place d’un service de transport extra-muros pour les Valréassiens. Il y a certes des choix à faire mais il faut que cette volonté et ces objectifs soient présents pour guider notre avenir.

GS.

Si tu pars étranger sur les routes de France.

Bien sûr quand TF1 propose de réaliser un reportage sur la désertification des campagnes et de nos villes moyennes que de surcroît il choisit Valréas il ne peut que ressortir de ce reportage qu’une image négative de notre Ville.

Il est vrai que nous n’étions pas obligés de forcer le trait sur nos malheurs que nous rencontrons, après ça il ne fallait pas s’attendre à un reportage promotionnel.

Pourtant il suffirait de tourner le regard pour s’apercevoir tous les côtés positifs et qu’il existe une vie associative culturelle sportive intense qui mériterait d’être plus soutenue par nos politiques Départementaux et Régionaux.

Leur attention devrait se porter sur notre Enclave enrichie par nos 19 communes de la Drôme provençale qui nous entourent.

Bien des poètes et des amoureux de notre pays ont chanté l, Enclave bien avant nous, je pense a François Colom et  Elisabeth Sansoube qui écrivaient :

Dans notre beau pays de France il est un coin béni des Dieux empli de senteurs de Provence.

Pour nous, rien n’est plus merveilleux.

Issue du Comtat Venaissin caressée par les Baronnies elle fait partie du Tricastin c’est de l’Enclave qu’il s’agit.

Un tour de ville sous les platanes où l’on célèbre la St Jean la tour Ripert, l’hôtel Simiane c’est Valréas qu’on aime tant.

Puis nous allons sans plus attendre visiter le Vial à Grillon à son charme laissons nous prendre et soyons heureux sans raison.

Dans le domaine des templiers à Richerenches nous nous rendons à ce qui fait sa renomée la seignerie de Bourbouton.

Le vieux château fort du Marot c’est un joyau de Visan c’est là qu’est née de ses coteaux la confrérie de St Vincent.

(F Colom janvier 1988).

Si tu pars étranger sur les routes de France. Il faudra t’arrêter dans ce coin de Provence : Ce pays partagé par mistral et soleil. Ce pays parfumé de lavande et de miel. Soumis au chant vibrant de la cigale folle…….

Tu verras l’olivier torturé par les veilles, par l’incessant combat contre l’assaut des vents……

(Elisabeth Sansoube)

Nous sommes loin d’épuiser nos ressources naturelles de qualité pour promouvoir notre territoire, faudrait-il en être persuadé !

De moins en moins de Services Publics

Au moment où les villes moyennes perdent leurs services publics, Valréas n’échappe pas à la règle. De ce fait c’est toute l’Enclave qui est privée de ces services indispensables à notre vie de tous les jours.

Ce problème est d’autant plus sensible que nous avons une population vieillissante dont les besoins méritent une proximité nécessaire pour le bien vivre de chacun.

Cette évolution porte bien à penser que les personnes qui sont le plus dans la précarité souffrent en premier de cette politique publique, basée uniquement sur des raisons économiques, sans tenir compte de la situation locale.

Nous ne pouvons que le regretter,  cependant il y a des alternatives que nous laissons échapper, pourtant bien promises lors des élections sur notre territoire. Je veux parler de la Maison du département qui aujourd’hui ne fait plus partie du projet du conseil départemental de Vaucluse. Pourtant les élus de l’Enclave sont bien en position de force dans cette assemblée pour exiger le minimum des promesses électorales qu’ils ont tenues.

Cet abandon du projet de la Maison du département ne semble pas émouvoir plus que ça nos deux élus de l’Enclave malgré leur promesse, ils semblent même ravis de leur immobilisme.

D’autre part il me semble que la municipalité devrait se poser quelques questions sur le bénéfice d’avoir un conseiller départemental dans son conseil qui, depuis son élection, n’a rien apporté de concret à notre ville et pour autant ont assisté à un détricotage de ce qui avait été engagé par le Conseil Général de Vaucluse depuis de nombreuses années.

La Maison du département aurait été un lieu d’aide et d’écoute pour l’enfance et la famille, pour les personnes handicapées, les seniors.

Un lieu unique pour avoir des informations permanentes sur l'A.P.A, l’aide sociale à domicile, des informations pour adapter son logement pour rester à domicile, sans oublier les informations sur les alternatives à la vie en établissement et les démarches simplifiées pour l’hébergement en établissement.

Les relations auraient été simplifiées avec la M.D.P.H, (Maison départementale des personnes handicapés), lieu de ressources, de conseil, d’information, pour y trouver accueil et écoute pour toutes les demandes.

Cette décentralisation aurait apporté de nombreux services pour l’insertion et l’emploi, la solidarité, le développement du territoire, le cadre de vie, les collèges, le sport l’éducation populaire, la culture et le patrimoine.

En fait, rien ne sert de se plaindre de la perte de nos services publics quand ce qui est à notre portée n’est pas exigé par nos élus qui en ont la charge.

GS.