Une bonne entente pour l’intérêt de tous.

J’aime mon territoire et ma communauté des communes, pour y vivre mais aussi pour avoir donné mon avis en son temps à sa construction.

Pour avoir proposé et approuvé cette nouvelle institution telle quelle est.

Il nous semblait important de limiter les communes qui avaient un lien historique et touristique lié à l’Enclave, contrairement à celles et ceux qui souhaitaient en son temps un élargissement du territoire plus vaste, plus pour des raisons d’arrière-pensée politicienne que par conviction.

L’opposition du conseil municipal de droite (UMP) était de cela ,en 2008.

Après décision administrative ce rapprochement entre Drôme et Vaucluse a créé un climat difficile et attendu entre nos deux départements amis.

Valréas par sa densité de population et le mode de scrutin majoritaire accède à une majorité confortable.

Les 19 communes que constitue la CCEPPG.

Au premier regard, nous constatons sans être de grands spécialistes, que cette situation géographique provoque une situation délicate qui méritait une attention toute particulière au regard des 15 communes Drômoises que constituent la Communauté des communes de l’Enclave des Papes et des pays de Grignan.

C’est pour cette raison essentielle que nous avions prévu en 2012 lors des élections Municipales de proposer la Présidence de la CCEPPG à un candidat Drômois dans un esprit de cohésion de solidarité et de reconnaissance.

Malheureusement l’esprit hégémonique et le manque d’analyse politique, les ambitions dominantes l’ont emportée sur la raison.

Après le feuilleton et le bras de fer pour limoger le premier président élu (jugé incompétent) nous aurions dû voir comme promis une amélioration significative et visible sur les responsabilités fondamentales afférentes à cette institution à savoir : l’Action économique, la promotion touristique, l’action sociale, l’aménagement du territoire, l’environnement, l’enfance.

Sans vouloir polémiquer, le miracle ne s’est pas produit et confirme que nous avons assisté à un combat politicien plus qu’à une volonté avérée de travailler ensemble.

J’ose espérer qu’une nouvelle génération comprendra et fera comprendre en 2020 l’importance que représente pour les citoyens la communauté des communes de l’Enclave des papes et des pays de Grignan de travailler pour notre avenir avant tout.

GS.

Le sens des priorités.

À la surprise de tous, les travaux de réfections de la départementale 976 entre Visan et Valréas, ont fait perdre le sens des priorités au Conseil Départemental. Dans le seul but de bien marquer comme un cordon ombilical cette route entre nos deux élus de Visan et Valréas.

Emporté par le souci de faire du visible, sans la moindre réflexion élémentaire leur choix s’est porté sur une restauration coûteuse et inutile. À coup sûr une restauration non prioritaire.

Cette opération est réalisée au détriment de nombreux travaux attendus qui incombent le Département je ne citerai que le chemin des estimeurs, les travaux de la route du lac et bien d’autres chemins départementaux qui mériteraient de sérieuses restaurations mais certes bien moins visibles.

Puis faudrait-il connaître les véritables besoins qui ne semblent pas être le cas de nos deux élus.

À moins que les Maires respectifs aient été consultés avant les travaux comme il se doit qui, tout en étant Départementale cette opération les concernaient directement.

Il faut bien savoir que les finances mises à la disposition pour cette opération seront au détriment d’autres travaux plus urgents pour notre commune.

J’ose espérer un sursaut de nos deux élus pour s’imposer au sein du Conseil Départemental pour comprendre et faire comprendre à leur majorité les besoins réels attendus par le Département. Permettez-moi d’avoir des doutes au regard des résultats obtenus à ce jour.

GS.

Élections municipales 2020 à Valréas.

Il serait peut-être temps de tirer les premières salves, à un an des élections municipales, en sachant très bien que certains antagonistes sont déjà dans les starting-blocks.

Mon engagement depuis de nombreuses années dans la vie locale me permet de penser, plutôt d’analyser, avec objectivité me semble-t-il, les réussites mais surtout les échecs que l’on peut rencontrer quand on choisit de se porter candidat à une élection locale ou départementale.

En période électorale, fort de nos convictions, nous sommes tous persuadés de détenir la vérité, d'être en possession du meilleur programme pour le bien de nos concitoyens.

Cependant la multiplication des listes et des candidats dispersent les hommes et les femmes compétents que composent ces listes.

Certes si chaque parti politique a la légitimité de se présenter en cette période de démocratie locale, il n’en reste pas moins vrai que les chances d’être élu sont proportionnelles au nombre de listes et que seul le deuxième tour décide, par le scrutin proportionnel délire un conseil municipal avec un minimum de voix.

Ce qui porte à penser que nous pouvons nous trouver par manque d’analyse politique et de prévoyance avec des individus qui gérent notre ville mais dont la majorité ne souhaite pas la présence.

Pour certains, comme pour moi et je pense que nous sommes nombreux dans ce cas , il est hors de question  d'accepter une gestion éventuelle de notre ville par celles et ceux qui prônent ces idées de droite extrême.

Pour éviter cette mésaventure qui d’un seul coup effacerait notre ville historiquement résistante et les conséquences culturelles, sportives, économiques que nous pourrions souffrir au quotidien.

IL s’impose raisonnablement d’éviter la multiplication des candidats et des listes présentées pour les élections de 2020.

IL serait peut-être à temps de réfléchir pour éviter le pire ?

Pour ma part je reste persuadé que la multiplication des listes, comme en 2014 , entraînerait l’élection à la tête de notre ville du F.N et ses alliés la ligue du sud ou des individus véhiculant la même idéologie.

Au regard des quatre années passées et de la non-représentativités des diverses listes présentées en 2014 , attendez-vous à  ce UZ pour celles et ceux qui seront dans la possibilité de se maintenir, le feront, en assurant à coup sûr la gestion de notre ville a des individus dont une majorité de Valréassiens ne souhaite pas l’élection.

Là aussi c’est un choix mais sachons mesurer l'éventualité et aussi les conséquences  pour de nombreuses années à suivre.

GS